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Le Pécharmant, autre ancienne
appellation renommée datant de la
«Vinée de Bergerac», est implanté
sur une formation majoritairement
molassique (sol graveleux) des
coteaux Nord-Est de la ville. Au cours
du XX e siècle, la vigne s’est même
étendue jusque dans la vallée.
Hydrographie
Les eaux de la Dordogne et de ses
affluents constituent une richesse
exceptionnelle pour l’irrigation et la
diversité des cultures ainsi que pour
l’alimentation en eau potable.
Les berges de la Dordogne et du
Caudeau sont des lieux particulière-
ment attractifs pour les loisirs. Elles
sont en cours de valorisation (coulée
verte, sentiers de randonnées...).
La forêt
Au Nord de la Communauté de
Communes, en lisière du massif
du Landais, les dépôts sablo-argi-
leux forment des terres acides et
pauvres qui ne se prêtent qu’à la
sylviculture et à l’élevage. Ces boi-
sements s’installent sur les pentes
incultes. Dans les vallées, les ripi-
sylves et quelques haies bocagères
sont encore préservées.
Les trois communes du Nord ont un
taux de boisement de 40 %. Dans
la Vallée de la Dordogne et sur les
coteaux du Monbazillacois les bois
sont quasi inexistants. Plus au Sud,
sur St-Nexans, Colombier et Bounia-
gues le taux de boisement atteint
seulement 12 %.
molasses et sables
Les collines au Nord-Est de Bergerac se com-
posent d’un sol calcaire, sableux et de galets.
Le vignoble traditionnel de Pécharmant est
remarquable par son unité paysagère.
formations sableuses
Les sables du Périgord au Nord de la Dordogne constituent un sol pauvre
typique du massif forestier du Landais. La végétation naturelle est composée
d’espèces silicicoles : bruyères, fougères, genêts, châtaigniers, pins et chênes
pédonculés.