JASON MORIARTY
juges sont honnêtes et passionnés de FMX et c’est
pour cela qu’ils ont été choisis. Il ne le ferait pas,
c’est tout. C’est une communauté si proche, tout le
monde parle et je pense que tout le monde sait que
ça ne mènerait pas très loin et que personne ne s’en
sortirait impunément.
Quelle est la partie la plus compliquée de ce
boulot?
Le plus compliqué sont ces décisions difficiles à
prendre et ensuite devoir dire à quelqu’un qui a fait
un superbe run de niveau mondial, avec des tricks
hors du commun, qui est vraiment stylé, pourquoi il
n’a pas eu autant de points que l’autre gars. C’est
difficile, nous avons tellement de respect pour
les riders que c’est délicat de presque devoir les
critiquer après avoir fait un run de malade.
Quelle est la meilleure partie de ce boulot?
Ce qu’il y a de mieux c’est de voir la progression
de ce sport, de faire partie de ces magnifiques
évènements et de voir tout le travail et les efforts que
font les riders qui portent leurs fruits. C’est tellement
cool de pouvoir voir des rookies se frayer leur chemin
jusqu’aux grandes compétitions - tu sais, d’être
témoin de leur voyage depuis qu’ils débutent avec
les difficultés pour se qualifier pour leur première
compétition à devenir prétendant au titre, arriver en
finale pour enfin gagner leur premier sacre majeur c’est génial.
Quand tu es à un de ces évènements historiques
comme à Osaka au Japon en 2013 ou il y a deux ans
à Sidney en Australie, tu sens que tu fais partie de
quelque-chose d’historique, tu sais, quelque-chose
que personne n’a jamais vu ni fait auparavant. Etre
témoin de l’histoire du FMX en direct.
p. Oliver Franke
Quand il y a du spectacle et qu’à la fin le meilleur
gagne, que l’évènement est un succès, que tout le
monde est contents avec les résultats, qu’on voit les
meilleurs riders du monde en action et que tout le
monde est sain et sauf - alors je suis ravis et je me
dit que c’était un bon weekend! T
FreestyleXtreme | 27