FR FreestyleXtreme Magazine Numéro 1 | Page 27

JASON MORIARTY juges sont honnêtes et passionnés de FMX et c’est pour cela qu’ils ont été choisis. Il ne le ferait pas, c’est tout. C’est une communauté si proche, tout le monde parle et je pense que tout le monde sait que ça ne mènerait pas très loin et que personne ne s’en sortirait impunément. Quelle est la partie la plus compliquée de ce boulot? Le plus compliqué sont ces décisions difficiles à prendre et ensuite devoir dire à quelqu’un qui a fait un superbe run de niveau mondial, avec des tricks hors du commun, qui est vraiment stylé, pourquoi il n’a pas eu autant de points que l’autre gars. C’est difficile, nous avons tellement de respect pour les riders que c’est délicat de presque devoir les critiquer après avoir fait un run de malade. Quelle est la meilleure partie de ce boulot? Ce qu’il y a de mieux c’est de voir la progression de ce sport, de faire partie de ces magnifiques évènements et de voir tout le travail et les efforts que font les riders qui portent leurs fruits. C’est tellement cool de pouvoir voir des rookies se frayer leur chemin jusqu’aux grandes compétitions - tu sais, d’être témoin de leur voyage depuis qu’ils débutent avec les difficultés pour se qualifier pour leur première compétition à devenir prétendant au titre, arriver en finale pour enfin gagner leur premier sacre majeur c’est génial. Quand tu es à un de ces évènements historiques comme à Osaka au Japon en 2013 ou il y a deux ans à Sidney en Australie, tu sens que tu fais partie de quelque-chose d’historique, tu sais, quelque-chose que personne n’a jamais vu ni fait auparavant. Etre témoin de l’histoire du FMX en direct. p. Oliver Franke Quand il y a du spectacle et qu’à la fin le meilleur gagne, que l’évènement est un succès, que tout le monde est contents avec les résultats, qu’on voit les meilleurs riders du monde en action et que tout le monde est sain et sauf - alors je suis ravis et je me dit que c’était un bon weekend! T FreestyleXtreme | 27