d. Difficultés et
solutions
Dans un premier temps, ce qui m’a semblé compliqué ce fut le
nombre de graphiste que nous sommes, et l’organisation
que nous devons avoir pour que tout fonctionne. En effet, il est
primordial de communiquer sur les avancés de chacun, sur le travail
à effectuer, et sur ce qui est réalisé et par qui. C’est pour cela que
plusieurs techniques ont été mise en place. La première, à mon
arrivée, a été d’essayer l’outil “Trello”, que nous n’avons pas gardé
puisque cela ne correspondait pas vraiment à ce dont nous avions
besoin. Par la suite, nous avons utilisé des Google Sheets qui nous
permettent de suivre et de noter tout ce qui nous est utile.
Enfin, la dernière problématique que j’ai rencontré et celle de
l’échange des projets . En effet, lorsque j’ai récupéré la gestion
des «Grammaire Business», ou des «Carnets de Voyage» par
exemple, je reprenait le travail de quelqu’un dont je ne connaissais
pas la démarche. Il a alors fallu que je m’adapte et que je fasse
ce qui m’a semblé être le mieux. Tout comme les fois ou je gère
l’équipe de Bassim en son absence, il faut que je reprenne la ou il
s’est arrêté afin de continuer le travail.
Dans un second temps, ce qui m’a posé problème a été l’échange
des fichiers . Il se trouve que nous nous répartissons le travail, et
nous corrigeons tous les planches de tout le monde. Cela nécessite
d’accepter que son travail ne soit pas sien, et d’apprendre à
ranger ses calques dans son fichier pour que d’autres puissent les
reprendre. En ce qui me concerne, j’accorde beaucoup d’importance
à ce que je produit, et il est difficile pour moi de me détacher de
mon travail. Cette expérience m’a permis d’apprendre à considérer
que ce que je produit n’est qu’une part d’un tout, et qu’il ne
m’appartient pas.
Planches chemin de fer The Door-to-Door Salesman
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