ETC. JOURNAL EDITIONS #4 | Page 22

Le sifflement du train qui s’ arrête me réveille. Me voilà en terre encore inconnue.
Mon esprit est brouillé, je peine à ouvrir les yeux. Le soleil sur mes paupières réchauffe mes pensées et peu à peu j’ arrive à y voir plus clair.
Autour de moi est assise une horde de vacanciers qui, comme moi, sont là pour échapper à la morosité de la Ville.
Paris, ô mon beau Paris. Je t’ aime tant et je te hais en même temps.
Le souvenir de tes rues pleines de monde aux allures nonchalantes, assis aux pieds des cafés si bondés aux mois d’ été laisse en moi une trace d’ inachevé.
Pourtant c’ est bien l’ asphyxie que tu procures qui m’ emmène aujourd’ hui si loin de toi.

Le sifflement du train qui s’ arrête me réveille. Me voilà en terre encore inconnue.

Mon esprit est brouillé, je peine à ouvrir les yeux. Le soleil sur mes paupières réchauffe mes pensées et peu à peu j’ arrive à y voir plus clair.
Autour de moi est assise une horde de vacanciers qui, comme moi, sont là pour échapper à la morosité de la Ville.
Paris, ô mon beau Paris. Je t’ aime tant et je te hais en même temps.
Le souvenir de tes rues pleines de monde aux allures nonchalantes, assis aux pieds des cafés si bondés aux mois d’ été laisse en moi une trace d’ inachevé.
Pourtant c’ est bien l’ asphyxie que tu procures qui m’ emmène aujourd’ hui si loin de toi.
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