Le sifflement du train qui s ’ arrête me réveille . Me voilà en terre encore inconnue .
Mon esprit est brouillé , je peine à ouvrir les yeux . Le soleil sur mes paupières réchauffe mes pensées et peu à peu j ’ arrive à y voir plus clair .
Autour de moi est assise une horde de vacanciers qui , comme moi , sont là pour échapper à la morosité de la Ville .
Paris , ô mon beau Paris . Je t ’ aime tant et je te hais en même temps .
Le souvenir de tes rues pleines de monde aux allures nonchalantes , assis aux pieds des cafés si bondés aux mois d ’ été laisse en moi une trace d ’ inachevé .
Pourtant c ’ est bien l ’ asphyxie que tu procures qui m ’ emmène aujourd ’ hui si loin de toi .
Le sifflement du train qui s ’ arrête me réveille . Me voilà en terre encore inconnue .
Mon esprit est brouillé , je peine à ouvrir les yeux . Le soleil sur mes paupières réchauffe mes pensées et peu à peu j ’ arrive à y voir plus clair .
Autour de moi est assise une horde de vacanciers qui , comme moi , sont là pour échapper à la morosité de la Ville .
Paris , ô mon beau Paris . Je t ’ aime tant et je te hais en même temps .
Le souvenir de tes rues pleines de monde aux allures nonchalantes , assis aux pieds des cafés si bondés aux mois d ’ été laisse en moi une trace d ’ inachevé .
Pourtant c ’ est bien l ’ asphyxie que tu procures qui m ’ emmène aujourd ’ hui si loin de toi .