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Depuis les années 2000 , notre canton accueille chaque année 12 ’ 000 personnes supplémentaires sur son territoire , ce qui représente l ’ équivalent de la ville de La Tour-de-Peilz .

A cette immigration nette , il faut ajouter les près de 30 ’ 000 frontaliers qui , chaque jour , viennent travailler dans le canton de Vaud . Nous vivons à l ’ heure de la démesure avec une démographie incontrôlée , quel canton allons-nous laisser à nos enfants ? Notre identité ne se limite pas au PIB , elle est d ’ abord constituée du peuple qui y vit et son héritage historique .

Dans la commune de Blonay , celle dans laquelle je vis , nous sommes passés d ’ un village de 3 ’ 000 habitants au début des années 1980 à plus de 6 ’ 100 habitants en 2017 . Tout a crû : la population , le trafic , le bétonnage , les problèmes sociaux , les problèmes sécuritaires et j ’ en passe . Une seule chose n ’ a pas crû : le territoire communal . Nous sommes de plus en plus nombreux sur un territoire qui , lui , n ’ a pas bougé . Défendre la qualité de vie des Vaudoises et des Vaudois , voilà la principale vocation de l ’ UDC .

En plus des enjeux propres aux problèmes de la densification et de l ’ immigration , l ’ UDC est également soucieuse de la façon dont l ’ argent des contribuables est dépensé par les pouvoirs publics .

En tant que conseiller communal à Blonay , je lutte contre le gaspillage de l ’ argent public et je me rappelle que les pouvoirs publics ne génèrent pas d ’ argent mais en prélèvent auprès des habitants qui , eux , en gagnent grâce à leur labeur .

Qui paie , commande ! En particulier , il faut lutter contre cette tendance qu ’ a le Conseil d ’ Etat vaudois , majoritairement socialiste , à reporter ses charges sur les communes . Ces dernières n ’ ont pas leur mot à dire mais doivent payer la note . Cette méthode permet donc à certains élus de financer leur boulimie dépensière grâce à l ’ argent des autres .

Par exemple , à Blonay , seuls 10 % des charges sont contrôlées directement par la commune . Cela veut dire que 90 % des charges sont des reports décidés par le Canton . A elle seule , la « facture sociale », qui dépend entièrement de la volonté du Canton , représente 23 % des charges du budget communal , soit un peu plus de 9 millions sur un budget d ’ environ 38 millions . Cet argent des contribuables blonaysans quitte la commune pour financer une politique sociale démesurée , sur laquelle les habitants de Blonay n ’ ont rien à dire .

Nous nous engageons à défendre le porte-monnaie du citoyen en nous opposant aux augmentations d ’ impôts . Si nous voulons garder encore des surfaces vertes , une qualité de vie avec des perspectives pour les générations futures , nous devons reprendre la main et stopper immédiatement cette fuite en avant sans réflexion sur notre avenir .

Romain Belotti , président UDC Blonay , conseiller communal , Blonay

Le Conseil d ’ Etat prévoit un million d ’ habitants dans le canton de Vaud d ’ ici 2030 , au mépris de la qualité de vie des Vaudoises et des Vaudois .

Le plus grand parti de Suisse ? C ’ est le parti de ceux qui s ’ abstiennent . Croire que les UDC sont moins nombreux que les autres à Lausanne est un leurre . Ils sont moins disciplinés . En tant qu ’ élue , cela donne envie de secouer ses électeurs : en face , nul n ’ oubliera de mettre toute la liste dans l ’ urne , les yeux fermés , sans chipoter .

Nous , nous composons avec les électeurs dilettantes . Gâtez-nous , chers électeurs , votez toute la liste quand le moment viendra ! Nul ne trouve un parti qui lui correspond à 100 % mais si vous adhérez à quelquesunes de ces assertions , il ne faudra pas égarer l ’ enveloppe lors des prochaines élections .

Pour changer les choses , voter UDC Voter UDC , c ’ est refuser que la population croisse de 30 ’ 000 personnes à Lausanne et de 190 ’ 000 sur Vaud d ’ ici 2032 . Parler de préservation des ressources avec une telle croissance est une tromperie . L ’ environnement n ’ a que faire des effets de langage . Maîtriser l ’ immigration est essentiel dans les faits .

Voter UDC , c ’ est dénoncer un système qui , sous prétexte de libre circulation , permet à des personnes de venir prendre la place de nos personnes fragiles qui veulent travailler , nos personnes âgées qui coûtent trop cher , de nos jeunes sans assez d ’ expérience .

Voter UDC , c ’ est exclure que la Ville et le Canton engagent des étrangers ou des frontaliers à la place du personnel local alors que les demandeurs d ’ emploi sont 198 ’ 000 dans notre pays .

Voter UDC , c ’ est s ’ opposer à la mendicité qui anéantit certains commerces , génère un sentiment d ’ insécurité et à certains étrangers qui viennent cambrioler sans risques .

Voter UDC , c ’ est être révolté que des personnes à l ’ assistance sociale qui réclament la naturalisation vivent mieux que des travailleurs aux conditions de vie modestes et humbles .

Voter UDC , c ’ est ne jamais accepter les dealers . L ’ offre pléthorique ouverte et impunie encourage les consommateurs .

Voter UDC , c ’ est rire jaune quand les autorités veulent des caméras dans un cimetière mais pas dans la rue .

Voilà pourquoi , chers électeurs UDC , il est décisif que vous soyez à chaque fois au rendez-vous des urnes et que vous glissiez le bulletin UDC . Pour préserver notre pays chaque voix compte et la vôtre est précieuse .

Anita Messere , présidente UDC Lausanne , conseillère communale , Lausanne

Il y a quelques semaines , la presse révélait que certaines communes en Suisse luttaient contre l ’ exode rural en rétribuant financièrement les nouveaux habitants afin de rendre leurs villages attractifs . La Vallée de Joux n ’ en est pas réduite à cette extrémité mais sa situation doit susciter – comme dans passablement de villages – une prise de conscience de nos autorités politiques .