édition spéciale mars 2015 | Page 8

8 Consultation populaire Vous avez la parole! Les souhaits, les idées et les opinions des citoyennes et des citoyens de ce des pays sur les thèmes brûlants nous intéressent vivement. Nous vous demandons donc ce que l’UDC doit faire dans les domaines de la politique extérieure, de l’économie, en politique d’asile et en politique à l’égard des étrangers ? Où devons-nous intervenir en priorité? Comment faut-il à votre avis s’attaquer à ces problèmes? Répondez aux questions ci-dessous. Faitesnous part de vos propres propositions ou participez à la consultation sur www.consultationpopulaire.ch jusqu’au 30 mai 2015 au plus tard. Nous analyserons vos réponses. Vous influencerez ainsi directement la politique fédérale et vous contribuerez à faire pression pour qu’il se passe enfin quelque chose ! J’approuve les mesures suivantes: Merci de cocher les mesures que vous soutenez. Pour une politique cohérente à l’égard des étrangers et concernant l’asile: Pour la Suisse: non à l’adhésion insidieuse à l’UE SUISSE Application fidèle de l’initiative populaire «contre l’immigration de masse» avec des contingents et la priorité donnée aux travailleurs résidents. Le Conseil fédéral doit à cet effet envisager la résiliation de l’accord de libre circulation des personnes. La Suisse a jusqu’ici basé sa politique européenne sur les accords bilatéraux. Elle n’est pas membre de l’UE et elle ne doit pas le devenir. Les immigrants ne doivent bénéficier de prestations sociales qu’après avoir cotisé au moins deux ans. Faute de quoi le droit de séjour doit leur être retiré. La Suisse ne doit pas conclure d’accord-cadre institutionnel avec l’UE, car elle devrait alors obligatoirement reprendre tout le développement du droit UE et les interprétations UE concernant les accords bilatéraux. Le regroupement familial des immigrants doit être limité au conjoint et aux enfants, il doit dépendre de l’indépendance financière de la famille. La Suisse doit cesser de miner sa neutralité permanente et armée. Elle doit au contraire la renforcer par une armée de défense crédible. L’intégration est l’affaire des immigrants. L’Etat n’a pas à subventionner d’onéreuses mesures d’intégration selon le principe de l’arrosoir. La Suisse doit chercher à entretenir des relations avec tous les pays du monde sur la base d’accords classiques de libre-échange au lieu de se fixer sur l’UE. L’initiative sur le renvoi des étrangers criminels doit être appliquée sans la clause de rigueur. Un étranger qui a commis un délit grave doit quitter la Suisse. La Suisse doit sauvegarder son autodétermination et son indépendance et défendre ses intérêts avec assurance face à l’UE. Les criminels et assistés sociaux ne doivent pas être naturalisés. L’aide publique au développement doit être sensiblement réduite et la réadmission des requérants d’asile refusés doit être directement liée à cette aide dans les pays concernés. Les étrangers ne doivent pas recevoir le droit de vote et d’éligibilité. Le droit suisse doit passer avant l RG&