Je suis devenu chef ( bien que ma formation de base soit celle d ’ un instituteur ) parce quej ’ aimais bien manger . Mais après la découverte de mon diabète j ’ étais condamné à manger des repas insipides et ennuyeux .
J ’ étais un fardeau pour ma famille et j ’ étais terrifié que mes enfants héritent de ma maladie .
Tous les jours je devais me piquer au doigt pour tester ma glycémie et ensuite me faire souvent ces douloureuses injections d ’ insuline . J ’ étais juste comme 49 millions d ’ autres américains : dans l ’ impasse de la « prise en charge du diabète ».
Je dépensais environ 2000 $ par mois en insuline
J ’ ai essayé d ’ autres médicaments pour le diabète recommandés par mon médecin comme la metformine , l ’ actos , ou l ’ amarel .
C ’ était un désastre . La metformine et l ’ actos me donnaient la nausée tout le temps et l ’ amarel me faisait grossir .
Mon diabète de type 2 vidait mon porte-monnaie et détruisait mon corps .
Ceci sans compter les autres effets du diabète , à savoir la neuropathie dans la plante des pieds et la diminution indéniable de mes performances sexuelles . Mon médecin m ’ a également dit que la Metformine pouvait endommager mes reins ! Belle perspective !
Je me sentais totalement piégé .
Vous avez probablement ressenti cela aussi … terrifié à l ’ idée que votre diabète ne fasse qu ’ empirer au fil de votre vie en la raccourcissant jusqu ’ à ce qu ’ il se décide enfin à vous tuer .
Mais pour moi , c ’ était sur le point de devenir encore plus grave . Je n ’ oublierai jamais ce jour dans la cuisine de mon restaurant . J ’ étais en manque de personnel au moment du coup de feu du diner du samedi .
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