Des espoirs, de la suspense, de la tristesse, Les Parapluies de Cherbourg, un film par le réalisateur Jacques Demy fait en 1964, est premièrement un film d’amour. Il présent le sujet d’un nouvel amour des deux personnages principaux, Guy (Nino Castelnuovo) et Geneviève (Catherine Deneuve), dans un magasin des parapluies. Un magasin des parapluies, peut-être il semble choisi au hasard et juste comme les autres magasins, sans aucune importance, mais ce titre a été choisi spécifiquement parce que le magasin joue un rôle principal dans le film.
C’est évident que Les Parapluies de Cherbourg est un film d’amour. Les premières scènes sont heureuses et consommées par des chansons douces. Guy et Geneviève sont amoureux, mais leur temps ensemble est court, Guy s’inscrit dans l’armée. Ils consomment leur relation avant qu’il part mais après qu’il quitte, Geneviève apprend qu’elle est enceinte. Les deux amants ne peuvent pas parler et Guy ne sait rien de cette grossesse. En plus de perdre Guy, Geneviève trouve que le magasin de sa mère est en péril. Elle épouse un riche bijoutier qui s’appelle Roland Cassard. Quand Guy retourne, il est dévasté par les nouvelles de Geneviève. Alors, quand il est informé que sa tante malade est morte, Madeleine, l’aide de sa tante, devient l’amant de Guy. Au début, ce n’est pas le grand amour pour lui parce qu’il est encore amoureux de Geneviève.
Le grand événement vient à la fin du film, après quatre ans. Guy achète sa propre station-service et il vit là avec sa femme Madeleine et leur fils, amoureux. Mais quand sa femme et son fils font une promenade, Geneviève apparait avec la fille de Guy. Elle porte des vêtements chers, elle vit une vie différente de Guy, mais on peut voir l’amour dans leurs yeux. On souhaite une fin heureuse pour les deux mais on ne le reçoit pas. Elle lui demande s’il veut connaitre leur fille, la réponse est non. Dans le perspectif du spectateur, c’est une fin un peu amère. Ils ne se battent pas, ils n’utilisent pas les mauvais mots, mais ils se séparent une dernière fois. Guy retourne à sa propre famille et sa station-service. Geneviève retourne à sa fille, mais le film se termine là. C’est évident qu’elle ne sera jamais contente avec son amour perdu même s’il y a un petit sentiment que Guy pensera à son amour pendant longtemps.
Enfin, ce film donne le sentiment d’un destin inaccompli. La musique transport les spectateurs à travers l’histoire d’amour des personnages. La perspectif nous permet de voir l’histoire et les sentiments et les raisonnements de chaque personnage alors c’est la raison pour laquelle spectateur veut une fin heureuse, à cause de l’amour qu’ils ont vu. Et il est tout à cause du magasin de parapluies. Sans le magasin, peut-être Geneviève n’aurait jamais rencontré Monsieur Cassard. Peut-être Guy et Geneviève auraient été étrangers. Sans ce magasin, on peut imaginer que cet amour n’existe pas et le spectateur n’aurait pas une raison d’être en colère par la fin.
A cause de la complexité et les thèmes matures, Les Parapluies de Cherbourg est un film pour les adultes. C’est un film un peu malade d’amour, est c’est compréhensible que tous n’aimeront pas, mais pour ceux qui aiment l’amour avec une fin amère, c’est pour vous.
En conclusion, on peut le détester ou on peut l’aimer et ceci est logique que le fin ce déterminé ces sentiments. A mon avis, le réalisateur a accompli son objectif. Le film captiv le spectateur et il l’a laissé enchanté.