Colloque Julius Koma COLLOQUE corrigé le 4 juin 2017 | Page 20
Vous voyez : le réseau devient complexe. Après quelques jours de recherches, il y a de plus
en plus de gens qui viennent à l’hôtel où nous étions logés, pour nous voir.
Les gens avaient tous un géant dans la famille, qui s’appelait Koch. (Rires) Mais alors on
demandait : « mais comment Koch ? Koch, c’est le nom familial ? ». « Non, non on fait aussi
de la cuisine Koch signifie le cuisinier ». Donc à la fin on ne savait plus voir exactement ce
qui était généalogique ou ce qui c’était le métier ?
On peut comprendre qu’on donne des labels et des prix, disons, à la gastronomie et ils
pensaient qu’on venait pour découvrir leurs restaurants, s’ils faisaient de la bonne
gastronomie ou des bons cours.
Donc tout était lié un petit peu et ça sortait un petit peu du cadre qu’on avait cherché.
Moi j’appelle ça de l’élastico-communication.
Tout le monde est parent avec tout le monde.On a arrêté nos démarches parce que tout le
monde voulait venir à Mons et je pense que le budget de Jean-Pierre n’était pas grand
assez. Et alors on s’est vite sauvé parce que ça aurait pris des dimensions qui n’étaient plus,
disons, qu’on ne pouvait plus dominer. Voilà ça c’est un petit peu notre voyage. Je vais vous
dire encore quelque chose en allemand, parce que c’est ma langue, que je préfère (Rires) :
« Der Koch kocht in Kochenden Wasser in einem Kucher in zeiner Kuche einen Kuchen ».
Bon appétit et bon travail. Merci !
Jean - Pierre Denefve :
Sur l’aspect généalogie nous continuons le travail avec monsieur Wandeler ; le travail
d’exploration pour fournir une généalogie la plus complète possible. L’arrière-grand-père
présumé de Julius Koch dont vous avez vu la maison, a eu 36 enfants. Mais dans une
économie de survie, dans les 36 enfants, certains n’ont pas survécu. Avec quatre femmes
différentes, non qu’il fût porté sur la gaudriole, mais parce que beaucoup de femmes
mouraient en couche. Nous sommes maintenant en contact avec le Vatican par la
nonciature, puisque nous voulons faire venir ici ce parent proche de Julius Koch, le cardinal
Kurt Koch, conseiller du pape François pour les questions bioéthiques, ce qui n’est pas sans
intérêt pour le sujet. Il viendrait, si possible, pour une messe en l’honneur de son arrière-
petit-neveu. C’est un travail qui prend évidemment beaucoup de temps.
Monsieur Wandeler, que vous avez vu, est venu à Mons. Il reviendra j’espère avec des
éléments plus solides pour une nouvelle intervention. Mais je me souviens, qu’il était triste de
voir ce squelette et ému.
Werner Wandeler
Der Riese Julius Koch und Ruswil
Der Riese Julius Koch hat jeweils von einem „oncle“Constantin gesprochen, der ebenfalls
von grosser Statur gewesen sein und im Kloster in Sursee gelebt haben soll. Der Riese hat
offenbar diesen „oncle“ sehr verehrt und auch seinen Künstlernamen „le Géant Constantin“
und „le Géant Suisse“ von diesem „oncle“ abgeleitet. Die Suche nach dem „oncle“ führte zum
Kapuziner Konstantin (Taufname Johann) Koch (18.04.1806-14.01.1874), der ebenfalls mit
einer eindrucksvollen Körpergrösse ausgestattet (203 cm) und in seinen letzten
Lebensjahren Guardian des Kloster Sursee (CH) war.
Der Kapuziner Konstantin Koch (l‘oncle) stammt nachweislich vom Soppestig in Ruswil (CH).
In seiner Verwandtschaft, die gut dokumentiert ist, existiert jedoch niemand mit dem
Vornamen Julius oder Matthäus (Vater und Grossvater des Riesen, die in Deutschland
nachgewiesen sind). Eine Verwandtschaft mit dem Kapuziner Konstantin Koch kann im
männlichen Stamm nicht belegt werden,
Eine Verbindung ergibt sich allenfalls über die Mutter des Riesen, Franziska Gut, die aus
Mauensee (Pfarrei Sursee) stammt. Die Pfarreibücher von Sursee geben zwar keine
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