À Lire
le mensuel
#1 janvier 2014
Ce Web Magazine ne propose qu’un échantillon
subjectif du contenu proposé sur le site
le mensuel
www.bejap.com
Edito
c omme chaque année, nous
n’échappons malheureusement
dossier
point au rituel mondain qui est de
fêter le passage à la nouvelle année,
mais cette fois-ci, nous ne faisons pas
les choses à moitié !
l’oculus
rift
Coup de projecteur
sur cet outil
merveilleux
Et même avec toute cette agitation en
cette période de fêtes, nous n’avons
pas chômé ces dernières semaines et
avons tous mis les mains à la pâte pour
vous concocter (toujours avec amour,
il ne faut pas l’oublier) une nouvelle
version haut en couleurs pour BeJap
; pile poil pour les fêtes, c’est tout de
même un beau cadeau !
cinéma
captain
harlock
Actualités
03
Edito
News
Albator s’invite
au cinéma pour la
première fois
Retrouvez l’actualité de nos rubriques Sociétés,
Animes, Mangas, Dramas, Jeux Vidéo et Cinéma
reviews
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chronique
L’oculus rift
Le jardin japonais
4 mangas en revue
extra
24
Recette du mois
Le Taco Rice, plat typique du café japonais
24
Voilà déjà plus d’un an que BeJap.
com a vu le jour... Et nous pouvons
difficilement faire un réel bilan pour
cette première année écoulée car nous
avons connu pas mal de déboires et
étant bénévoles, nous ne pouvons pas
nous consacrer pleinement au site et
avancer comme nous le souhaiterions.
Pokemon x et y
dramas de l’automne
animes de l’automne
Dossiers
the zelda project
Le projet DeviantArt du mois
www.bejap.com
#1 janvier 2014
BeJap.com entre enfin dans sa V4 !
03
Ce Web Magazine ne propose qu’un échantillon
subjectif du contenu proposé sur le site
Cuisine
animes de
l’automne
Nous espérions pouvoir vous livrer
cette version 4 un peu plus tôt, mais
cette dernière a pris du retard suite à
des impondérables, mais a posteriori,
nous nous satisfaisons de savoir
qu’il s’agit d’un beau cadeau à la
communauté pour cette période de
fêtes.
Bonne année à tous !
L’équipe
BeJap.com
Animes
La recette
du mois
Néanmoins, il y a certaines choses
que nous pouvons dire avec certitude
: créer un site est une expérience
vraiment excitante et enrichissante,
et c’est également une remise en
question perpétuelle qui, parfois,
nous fait réellement comprendre
l’expression « bien heureux les simples
d’esprit ! » Attention, loin de nous
d’avoir la prétention de nous croire
plus intelligent que les autres, mais il
nous arrive de nous demander si nous
ne sommes pas un peu masochiste
pour s’être lancé dans cette aventure
et de vouloir continuer !
Le pruneau porte-bonheur
Les animes de cet
automne, coups de
cœur et déceptions !
Le Taco Rice, plat typique du café japonais
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News societe
du Nouvel An, les japonais
A l’approche premiers achats préparatifs. Un
font leurs
élément essentiel pour bien commencer la nouvelle année : le oofuku ume ou plus précisément, le
pruneau porte-bonheur.
interview
Interview Moshi Studio
Afin de satisfaire votre soif de savoir, voici
une interview dédiée à l’agence Moshi Studio,
et plus précisément à Mike Wrobel, creative
graphic designer, qui s’est installé à Tōkyō.
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De quoi s’agit-il ? Le oofuku ume s’achète dans
le sanctuaire Itano Tenmangu à Kyōto. Il est
fabriqué à partir des fruits cueillies dans les environs 1500 pruniers qui
poussent dans l’enceinte du sanctuaire. Ces prunes qui ont d’abord été salées,
sont ensuite séchées. L’idée est de les consommer le Jour de l’An en les plongeant
dans une tasse de thé et la boisson devrait alors prendre un goût salé. C’est en la
buvant, qu’on prie pour la bonne santé de ses proches. Cette année, environ 30
000 sachets de 500 yens, contant chacun 6 pruneaux (paquet familial ?) ont été
préparés et les ventes se poursuivent jusqu’au 25 décembre.
Dommage pour nous, qui n’habitons pas au Japon. On va devoir se contenter des
pruneaux vendus dans le supermarché du coin. Mais pourquoi ne pas tester cette
étrange pratique de plonger le pruneau dans le thé. S’il le faut, on gagnera des
points pour nos efforts et le porte-bonheur marchera quand même !
Maupowaa
News societe
Oe Kenzaburo : le prix
Nobel pardonne tout ?
V ous connaissez peut-être le nom
d’Ōe Kenzaburō, le lauréat du
prix Nobel de la littérature de 1994 ? Une
nouvelle traduction en français d’un
roman publié au Japon en 2005, est
apparue chez Philippe Picquier cette
année 2013 : Adieu, mon livre ! L’auteur
imagine le personnage de Kogito, un
romancier âgé, qui semble clairement
être l’alter ego d’Ōe Kenzaburō.
C’est à travers les discussions
échangées par ce personnage et
son ami Shigeru, que l’auteur nous
transmet une nouvelle f ois ses
réflexions sur la société, la vieillesse
et la violence de la condition humaine.
Ce roman a été très critiqué au Japon ;
Ōe Kenzaburō est toujours un écrivain
respecté dans son pays natal comme
en Occident, mais la réapparition
redondante de son alter ego dans
ses romans semblent déplaire aux
critiques japonaises qui y lisent un
manque de créativité. Par exemple,
Takahashi Genichirō, un professeur
de l’université de Meiji, a rédigé une
critique dans l’Asahi Shinbun suite à
la publication japonaise du roman.
Pour lui, l’écriture d’Ōe Kenzaburō
est scandaleuse, justement parce
qu’il continue à composer sans
jamais se renouveler. Rien ne change.
En ce qui me concerne, c’est un auteur
que j’apprécie grâce à la fluidité de
son texte et l’audace qu’il y met ;
il traite des sujets qu’on n’aborde
parfois que difficilement. Or, ayant lu
seulement une petite partie de son
Œuvre, je ne peux pas m’exprimer
sur la redondance de ses propos. Je
laisse donc à chacun la tâche de se
forger un avis. Après tout, ce n’est
pas parce qu’on a gagné le prix
Nobel qu’il ne faut plus faire d’effort !
Critique dans l’Asahi Shinbun
http://cpc.cx/8Nr
Maupowaa