Pour ne citer que quelques exemples m’amenant à ces constatations :
- L’augmentation du volume des tâches consacrées à la continuité et au
développement de notre association,
- L’augmentation des charges inhérentes au volume des activités proposées,
- Le temps pour l’entretien du matériel,
- Le temps pour la gestion du personnel,
- Le temps de préparation des camps
- Le temps pour la gestion des salaires
- Le temps pour l’établissement et le suivi des factures et le suivi de la
comptabilité avec notre prestataire BMP
- Le temps pour la recherche de fonds...
Tout cela mis en regard du fait qu’en dehors des personnes du comité, nous n’avons
pas de soutien bénévole régulier, hormis quelques fidèles que je tiens ici à remercier
chaleureusement pour leur engagement auprès de DS.
Cela fait que nous sommes trop peu de monde pour aujourd’hui gérer correctement
DS en respectant les besoins personnels de chacun. Il faut donc absolument, pour que
DS fonctionne encore longtemps, réfléchir à une autre organisation interne, voire une
autre structure morale.
Je ne vous cache pas que ces réflexions sont déjà d’actualité entre Alain et moi,
principalement par le fait des discussions inter-associations en cours.
Pour rappel, voici les 4 axes sur lesquels nous avons évalué notre potentialité de
fonctionnement ;
- Le premier consiste à consolider nos connaissances et à exploiter notre
potentiel avec les moyens dont nous disposons (en bénévoles, personnel
rétribué, donateurs et en engins). Nous sommes actuellement dans cette
dynamique mais avons largement dépassé le quota de notre disponibilité.
- Le second axe consiste à mettre en place une structure avec un profil semi-
professionnel, c’est-à-dire avec une personne partiellement rétribuée qui
aurait pour mission de reprendre certaines tâches aujourd’hui effectuées par
le Comité. En particulier la recherche de fonds et la gestion des projets. Nous
sommes actuellement théoriquement dans cette dynamique.
- Le troisième axe consiste à rechercher un partenariat avec d’autres
associations similaires présentes en Suisse romande et permettant un
développement en commun de nos actions. A titre personnel, je pense que
cette option doit être très sérieusement envisagée pour nous permettre de
répondre au mieux aux différentes attentes parentales et institutionnelles. Je
pense que la réunion de nos forces peut nous permettre un gain
organisationnel et financier. C’est le débat actuellement en cours.
- Le quatrième axe consiste à trouver une institution ou un partenaire dans le
monde du handicap prêt à profiter de nos compétences et de notre matériel