Chris restarted the company with a view
to building the cars the way it was done in the
1930s. Today, Chris owns the company, therefore the new Teardrops will wear the Figoni et
Falaschi badge. “The two I am building from
the ground up will be ‘second series’ Figoni et
Falaschi Teardrops – these are not replicas – they
are officially the second series of the Teardrops
from the same company, made exactly the same
way that the cars of the first series were made.”
ArtSuisse
en
ticulières en marketing, et suggéra que je crée
l’entreprise dans un premier temps et trouve ensuite quelqu’un qui aurait les compétences pour
gérer la partie commerciale de ce concept. »
« Son idée était que je crée de petites boutiques d’exception proposant une ligne de sacs
à mains, de bagages, de chaussures, de gants et
de lunettes de soleil et d’exposer dans chacune
d’elles l’une des voitures comme la caractéristique commune à chaque boutique. Ainsi nous
recevrions une « valeur accessoire » qui surpasserait de six fois le prix auquel je pourrais
vendre chaque voiture, » mentionne-t-il.
C’est ainsi que le projet Figoni et Falaschi
vit le jour, bien que depuis une limite à deux
voitures de seconde série a été déterminée. « J’ai
créé l’entreprise Figoni et Falaschi il y a environ
sept ans. J’ai déposé la marque, je suis même
allé rencontrer la famille héritière de Figoni afin
de discuter de l’utilisation du nom, que l’entreprise avait abandonné dans les années 50, »
se souvient-il.
Chris redémarra l’entreprise dans l’optique
de fabriquer des voitures telles qu’elles l’étaient
dans les années 30. Aujourd’hui Chris possède
l’entreprise, et de ce fait les nouvelles Goutte
d’Eau porteront l’emblème Figoni et Falaschi.
« Les deux véhicules que je fabrique de A à Z
seront des Goutte d’Eau Figoni et Falaschi « seconde série » ; ce ne sont pas des répliques ; elles
sont officiellement la seconde série de Goutte
d’Eau de la même entreprise, fabriquées exactement à l’identique des voitures de la première
série. »
Une fois que les machines d’origine furent
trouvées et installées, et que les artisans furent
ArtSuisse
en
Renaissance
habitués à leur usage, la restauration du modèle
original pouvait commencer, Chris ayant indiqué à ses artisans la façon de fabriquer les
moules et les modèles à partir des pièces d’origine et qui serviraient ensuite à la fabrication
des deux prochains véhicules. Le projet débuta
en 2009 et aujourd’hui les deux premières voitures, l’originale et la première de la seconde
série, sont presque terminées.
Malheureusement, Chris en a conclu que la
tâche est bien trop titanesque pour poursuivre son projet initial de fabrication d’une flotte
de Goutte d’Eau seconde série, mais il admet
cependant que l’expérience a été une opportunité unique de créer quelque chose de très spécial à un moment donné de l’histoire. Chris
confie, « Je sais maintenant que trois voitures
suffisent à transmettre le message que j’ai voulu faire passer et pour moi, à être satisfait du
fait que l’objectif du projet ait été atteint. Je
n’ai plus le souhait de fabriquer une douzaine
de Goutte d’Eau ; bien que j’en ai la possibilité,
mais une douzaine ne correspond pas à mon intention ».
L’une des raisons pour lesquelles Chris voue
une confiance absolue à son équipe d’artisans,
est qu’ils ont étudié et restauré ensemble l’originale. « Mes gars ont su développer une touche
particulière avec mes voitures, qui est unique, »
déclare-t-il. « Ils savent comment les voitures
doivent être fabriquées. Nous avons effectué les
démarches maintes fois. Ils sont très enthousiastes à l’égard de leur travail et ils comprennent le design de la voiture ; deux caractéristiques d’une extrême importance à mes yeux. »
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Renaissance
at my outline and told me that, once built, I
absolutely cannot sell these cars. He told me that
they would be too good to sell and that I must
do something with a greater purpose than just
building Teardrops to sell,” Chris recalls.
“He told me that, since I was reforming the
Figoni et Falaschi company, I should use these
cars as props in boutique stores. Place one in
each store as the brand’s signature. I told him
that my practical business knowledge had nothing to do with marketing luxury goods and that
I was only interested in the car itself. He said
that I needn’t have marketing skills. He suggested that I form the company and then find
someone who knows how to handle the business end of this concept.”
“His idea was for me to build small unique
boutiques with a line of handbags, suitcases,
shoes, gloves and sunglasses and have one of
the cars as a feature in each shop. This way we
would receive a ‘prop value’ that would exceed
six-fold the price that I could sell the cars for,”
he mentions.
This is how the Figoni et Falaschi project
began, although a two-car limit has now been
set on the second series. “I formed the Figoni
et Falaschi company about seven years ago. I
trademarked the brand, even went so far as to
visit the original Figoni family to discuss my
using the name, one which the company discarded in the 1950s,” he recalls.