Renaissance
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Renaissance
and body lines were based on what is known
today as the ‘French Curve’.
The French Curve is a template composed of
many different curves adhering to a mathematical formula for designing objects to make them
smooth and balanced and, in coachbuilding, to
incorporate certain wind-deflecting characteristics. It is a calculation that was created for an
art form; for sculpting stone, clay or even for
designing representations of the human body.
This became a blueprint for designing cars, one
that began in the late 1920s and reached its
pinnacle in the 1937/38/39 timeframe.
Figoni et Falaschi incorporated the French
Curve to build their coach bodies onto chassis which were designed for racing, therefore,
someone who wanted a fast beautiful car would
go to the company with a racing chassis and
Figoni et Falaschi would dress it with a beautiful body, often in outrageous colours that had
never before been seen by the late 1930s. The
company would crush pearls, for example, and
add that to the paint mix, often painting their
cars in two or three colours which followed the
contours of the body lines.
Today, in a small restoration shop in the
middle of France, Chris employs a team of
artisans who have almost completed the restoration of one Figoni et Falaschi Teardrop, and
at the same time are building two new ones
using the same tools and machines that were
employed in the late 1930s. Not simply the
same types of tools, but the originals; as he ex-
plains, “There is no aspect of the restoration /
creation of those three cars that was done differently than it was in 1938, and it takes a tremendous amount of artistic work to re-composite
and reproduce these original pieces in the old
way using all of the same techniques.”
“When planning the project I realised that,
to make this project authentic, I needed to
search the world over to find and then buy the
original machinery, not prototypes or replicas,
but the actual equipment that was used between
1928 and 1935. Therefore, for this project, my
craftsmen have been using the authentic hand
tools and machines.”
This style of the restoration can only be described as ‘forensic’ in its nature. Christopher
even found a defunct lumber mill in France
that, during the epoch, provided wood for the
frames of the original cars – there was a pile
of wood that had been cut in the mid-1930s
and had sat unused. He bought a selection of
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en
Il s’est toujours intéressé aux voitures de carrosserie française mais il reconnaît que Figoni et
Falaschi avaient un style unique. Il les considère
comme de véritables artistes à l’origine de l’intérêt des carrossiers pour l’aérodynamisme dans
les années 30, et des lignes de carrosserie que
l’on qualifie aujourd’hui de « Ligne Française ».
La Ligne Française c’est l’association de
nombreuses courbes différentes selon une formule mathématique destinée au design d’objets homogènes et équilibrés et, dans la carrosserie, incluant certaines caractéristiques de
pénétration dans l’air. C’est un calcul qui avait
été conçu pour l’art ; pour la sculpture de la
pierre, de l’argile ou encore pour dessiner des
représentations du corps humain. Il devint
ensuite le schéma directeur du stylisme de voitures, qui débuta à la fin des années 20 et atteignit son apogée durant la période 1937/38/39.
Figoni et Falaschi appliquèrent la Ligne
Française pour fabriquer leurs caisses sur des
châssis destinés à la course, ainsi, quelqu’un
voulant une belle voiture de course se rendait
chez eux avec un châssis de course et Figoni et
Falaschi l’habillait d’une superbe carrosserie,
souvent peinte de couleurs scandaleuses jamais
vues auparavant en cette fin des années 30. La
marque pilait, par exemple, des perles qu’elle
ajoutait au mélange de peintures, et peignait
souvent ses voitures en biton voire trois tons
qui suivaient les lignes de la carrosserie.
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Aujourd’hui, dans un petit atelier de restauration situé au centre de la France, Chris
emploie une équipe d’artisans qui auront bientôt achevé la restauration d’une Goutte d’Eau
de Figoni et Falaschi, et qui en même temps
en fabriquent deux nouvelles en utilisant les
mêmes outils et machines que ceux employés à
la fin des années 30. Pas simplement le même
type d’outils, mais les originaux, comme il le
fait remarquer, « Aucun aspect de la restauration/création de ces trois voitures ne diffère de
la manière employée en 1938, et cela requiert
un prodigieux travail artistique pour recomposer et reproduire les pièces originales avec les
techniques d’antan. »
« En élaborant le projet, je me suis aperçu
que, pour le rendre authentique, j’allais devoir
parcourir le monde entier pour rechercher et
acheter les machines d’origine, pas des prototypes ou des répliques, mais le véritable équipement utilisé entre 1928 et 1935. C’est ainsi
que pour ce projet, mes artisans ont utilisé l’outillage et les machines d’origine. »
Ce type de