Sono state introdotte per la pesca sportiva
numerose specie alloctone tra le quali il
coregone (Coregonus lavaretus), proveniente
dai laghi alpini svizzeri, il persico reale (Perca
fluviatilis), il persico sole (Lepomis gibbosus), il
persico trota (Micropterus salmoides) e la
gambusia (Gambusia holdbrooki), provenienti
dal nordamerica, il carassio (Carassius
carassius) e la carpa (Cyprinus carpio),
provenienti dall'Asia. La presenza di queste
specie non autoctone, in molti casi peraltro
nemmeno rilevante sul piano economico locale,
potrebbe influenzare gli equilibri ecologici fra le
specie autoctone influendo così sul regolare
svolgimento delle dinamiche di popolazione
delle specie più interessanti. Le principali specie
indigene presenti sono il luccio (Esox lucius), la
tinca (Tinca tinca), la scardola (Scardinius
erythrophthalmus), la rovella (Rutilus rubilio). Da
segnalare la popolazione di latterino (Atherina
boyeri) presente in quantitativi rilevanti ma
sottoposta a forti pressioni a causa della pesca
e non sostenuta da immissioni. Un’altra specie
attivamente pescata è l’anguilla (Anguilla
anguilla) che per la buona qualità delle acque
del lago di Bracciano presenta delle
caratteristiche organolettiche tali da renderla
particolarmente ricercata. La pesca all’anguilla
viene sostenuta con immissioni sia di stadi
larvali (cieche) che di fasi giovanili (ragani), in
quanto tale specie si riproduce solamente in
mare. Nel comprensorio del Parco sono inoltre
presenti alcune specie di interesse comunitario
come il vairone (Leuciscus souffia) la cui
presenza è stata riscontrata nel fiume Arrone, il
barbo (Barbus plebejus), il cobite (Cobitis taenia
Pour la pêche sportive, de nombreuses espèces
allochtones ont été introduites comme le Corégone
Lavaret (Coregonus lavaretus), qui vient des lacs alpins
suisses, la Perche commune (Perca fluviatilis), la
Crapet-soleil (Lepomis gibbosus), l'Achigan à grande
bouche (Micropterus salmoides) et la gambusie
(Gambusia holbrooki), qui viennent d'Amérique du Nord;
le Carassin commun (Carassius carassius) et la Carpe
commune (Cyprinus carpio), qui viennent d'Asie. La
présence de ces espèces non autochtones, dans
beaucoup de cas d’ailleur, n'est même pas considérable
sur le plan économique local, elle pourrait influencer les
équilibres écologiques parmi les espèces autochtones
en influençant ainsi le déroulement régulier des
dynamiques de peuplement des espèces les plus
intéressantes.
Les principales espèces indigènes
présentes sont: le Brochet (Esox lucius), la Tanche
(Tinca Tinca), le Rotengle (Scardinius erythrophthalmus)
et le Gardon (Rutilus rubilio). À signaler la population
d’Athérine (Atherina boyeri) présente en quantités
considérables mais soumise aux fortes pressions à
cause de la pêche et non soutenue par les immissions
piscicoles. Une autre espèce activement pêchée est
l’Anguille commune (Anguilla anguilla), qui présente des
caractéristiques organoleptiques qui la rendent
particulièrement recherchée grâce à la bonne qualité
des eaux du lac de Bracciano.
La pêche à l'anguille est
soutenue avec des immissions piscicoles tant au stade
larvaires (aveugle) qu’au stade juvénil (ragani), étant
donné que cette espèce se reproduit seulement en mer.
Dans le périmètre du Parc, il y a aussi certaines
espèces d'intérêt communautaire comme le Blageon
(Leuciscus souffia), dont la présence a été relevée dans
le fleuve Arrone, le Barbus italien (Barbus plebejus), la
Loche de rivière (Cobitis taenia bilineata), qui réussit à
survivre même dans des eaux particulièrement pauvres