Alternanza scuola-lavoro 4M liceo Vian di Bracciano JOOMAGALTERNANZA4MMAGGIO2017 | Page 29

Sono state introdotte per la pesca sportiva numerose specie alloctone tra le quali il coregone (Coregonus lavaretus), proveniente dai laghi alpini svizzeri, il persico reale (Perca fluviatilis), il persico sole (Lepomis gibbosus), il persico trota (Micropterus salmoides) e la gambusia (Gambusia holdbrooki), provenienti dal nordamerica, il carassio (Carassius carassius) e la carpa (Cyprinus carpio), provenienti dall'Asia. La presenza di queste specie non autoctone, in molti casi peraltro nemmeno rilevante sul piano economico locale, potrebbe influenzare gli equilibri ecologici fra le specie autoctone influendo così sul regolare svolgimento delle dinamiche di popolazione delle specie più interessanti. Le principali specie indigene presenti sono il luccio (Esox lucius), la tinca (Tinca tinca), la scardola (Scardinius erythrophthalmus), la rovella (Rutilus rubilio). Da segnalare la popolazione di latterino (Atherina boyeri) presente in quantitativi rilevanti ma sottoposta a forti pressioni a causa della pesca e non sostenuta da immissioni. Un’altra specie attivamente pescata è l’anguilla (Anguilla anguilla) che per la buona qualità delle acque del lago di Bracciano presenta delle caratteristiche organolettiche tali da renderla particolarmente ricercata. La pesca all’anguilla viene sostenuta con immissioni sia di stadi larvali (cieche) che di fasi giovanili (ragani), in quanto tale specie si riproduce solamente in mare. Nel comprensorio del Parco sono inoltre presenti alcune specie di interesse comunitario come il vairone (Leuciscus souffia) la cui presenza è stata riscontrata nel fiume Arrone, il barbo (Barbus plebejus), il cobite (Cobitis taenia Pour la pêche sportive, de nombreuses espèces allochtones ont été introduites comme le Corégone Lavaret (Coregonus lavaretus), qui vient des lacs alpins suisses, la Perche commune (Perca fluviatilis), la Crapet-soleil (Lepomis gibbosus), l'Achigan à grande bouche (Micropterus salmoides) et la gambusie (Gambusia holbrooki), qui viennent d'Amérique du Nord; le Carassin commun (Carassius carassius) et la Carpe commune (Cyprinus carpio), qui viennent d'Asie. La présence de ces espèces non autochtones, dans beaucoup de cas d’ailleur, n'est même pas considérable sur le plan économique local, elle pourrait influencer les équilibres écologiques parmi les espèces autochtones en influençant ainsi le déroulement régulier des dynamiques de peuplement des espèces les plus intéressantes. ​ Les principales espèces indigènes présentes sont: le Brochet (Esox lucius), la Tanche (Tinca Tinca), le Rotengle (Scardinius erythrophthalmus) et le Gardon (Rutilus rubilio). À signaler la population d’Athérine (Atherina boyeri) présente en quantités considérables mais soumise aux fortes pressions à cause de la pêche et non soutenue par les immissions piscicoles. Une autre espèce activement pêchée est l’Anguille commune (Anguilla anguilla), qui présente des caractéristiques organoleptiques qui la rendent particulièrement recherchée grâce à la bonne qualité des eaux du lac de Bracciano. ​ La pêche à l'anguille est soutenue avec des immissions piscicoles tant au stade larvaires (aveugle) qu’au stade juvénil (ragani), étant donné que cette espèce se reproduit seulement en mer. Dans le périmètre du Parc, il y a aussi certaines espèces d'intérêt communautaire comme le Blageon (Leuciscus souffia), dont la présence a été relevée dans le fleuve Arrone, le Barbus italien (Barbus plebejus), la Loche de rivière (Cobitis taenia bilineata), qui réussit à survivre même dans des eaux particulièrement pauvres